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Hey you § Pony Pony Run Run
Un film qui me donne envie de m'évader, de m'envoler, de vivre...
J'aime les acteurs et leurs personnages si charismatiques.
J'aime leur soif d'aventure et leur refus d'avoir une vie qui ne veut rien dire.
Sam Mendes est décidément très touché par la routine qui s'installe dans la vie de chacun. Il en fait des films, et les réussit à chaque fois selon moi. Ou peut-être est-ce un sujet qui me tient particulièrement à cœur, parce que j'ai cette peur au fond de moi, la peur de ne pas vivre assez, de ne vivre qu'à moitié..
A voir aussi : American Beauty et Les noces rebelles
exp et ln vont tous les deux au restaurant. Qui paye l'addition ? exp car logarithme népérien
Les maths, c'est marrant.
sin et cos sont dans une soirée. Mais il n'y a que des sin, et cos s'ennuie tout seul dans son coin. sin vient le voir et lui dit : "Il faut que tu t'intègres"
Les maths, c'est pas ennuyeux, c'est comme un jeu.
X et X² sont dans un bâteau. Seul X sait naviguer, mais il tombe à l'eau. Que reste-t-il dans le bâteau ? 2X, car le bâteau fait dériver X²
Les maths, ça me fait kiffer grave.
ln et exp sont dans une soirée. Mais il n'y a que des ln, et exp s'ennuie toute seule dans son coin. ln vient la voir et exp lui dit : "J'essaye de m'intégrer mais ça change rien..."
Je prenais juste des photos, comme ça, pour passer le temps, pour me rappeler de ce week-end passé avec mon petit frère. La lumière n'était pas particulièrement belle et je ne me sentais pas particulièrement inspirée.
Ce n'est qu'en transférant mes photos sur mon ordinateur que je me suis arrêtée sur celle-ci.
Et je me suis dit "hey mais elle est carrément géniale cette photo !"
Bon, faut dire que le modèle est plutôt canon aussi...
Être triste et ne savoir que faire de cette tristesse.
Être conscient de la nécessité de l'évacuer car les choses ne changeront pas de façon à la faire disparaître.
Partir se promener.
Pleurer.
Se mettre Radiohead dans les oreilles.
Pleurer encore.
Prendre soudain conscience que la photographie peut nous apporter encore plus que ce qu'elle n'a toujours fait. Qu'elle peut être un moyen de s'exprimer, de libérer ces sentiments qui nous empêchent d'avancer.
J't'oublierai
Aussi sûr que cette immensité devant laquelle je me trouve est là bien présente
J't'oublierai
Aussi sûr que les sons les doigts du violoniste sur son instrument
J't'oublierai
Aussi sûr que le printemps vient après l'hiver, après la pluie le beau temps, après le fleuve l'océan
J't'oublierai
Oui... mais
Oui même si les hasards sont parfois si heureux
Si on ne s'y attend pas quand on tombe amoureux
Si le vent incertain part comme il vient
T'oublier ça vaut mieux oui c'est mieux pour demain
Alors j't'oublierai
J't'oublierai
Aussi sûr que toi et moi faisait nous
J't'oublierai
Aussi sûr que sont doux les baisers dans le cou comme une caresse légère, frisson qui effleure tout doucement ton cœur du bout des lèvres
Aussi sûr que la course du temps m'usera lentement
J't'oublierai
Oui... mais
Oui même si c'était bien oui même si c'était beau
Ta main au creux de ma main
Ta peau contre ma peau
T'oublier c'est certain me lavera de tous mes maux
Et puis si j'arrive pas à oublier tout ça
Les dents de ton sourire je les garderai au fond de moi dans des bulles de soupir
Rien qu'un drôle de souvenir
Trois petits tours et puis s'en va
Je t'oublie
C'est sûr que j'aimerais me souvenir de toi
Je t'oublie
Ça y est tu n'es plus là
Oui... Après j'arrête, mais les BDs de Pénélope Bagieu, elles me font vachement envie !
Ma vie est tout à fait fascinante et Joséphine de Pénélope Bagieu. Editeur : Jean-Claude Gawsewitch.